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A“L’engouement récent d’un certain nombre de nos contemporains pour la symbolique des nombres (que…” by chartreux https://link.medium.com/Moht6pCMpSussi faudrait-il en fait renoncer à l’opposition – pourtant très tentante – d’« une philosophie de l’esprit absolu », vouée à faire la « démonstration de la [toute ?] puissance de la pensée », et d’« une archéologie de l’âme humaine », liée à l’« analyse des impuissances de la conscience » [9]. Y renoncer au profit de la distinction seulement résiduelle et tendanciellement évanouissante ou même, plus exactement, de l’analogie qu’il serait bien plutôt préférable d’établir entre le registre spéculatif d’une psychologie de l’Esprit et le registre psychanalytique d’une psychologie des esprits. Analogie rigoureusement parallèle à celle – apparemment plus locale – que Claire Pagès entend quant à elle souligner en rapprochant la « négativité dialectique » ou le « travail dialectique du négatif » [10] qui prévaut chez Hegel et la « négativité psychique » ou le « travail psychique du négatif » [11] qui prévaudrait cette fois chez Freud.@0634309199 Hegel & Freud. Les intermittences du sens [1] est l’ouvrage que Claire Pagès a « tiré de [sa] thèse de doctorat en philosophie, soutenue le 11 décembre 2010 à l’Université Paris Ouest Nanterre. » [2]. Au principe de l’argument qui y est défendu, une conviction dont un fait d’histoire de la philosophie contemporaine – française, pour l’essentiel – signalerait et confirmerait le bien-fondé : il existerait « une certaine parenté de structure » [3] entre la philosophie hégélienne et la psychanalyse freudienne. Une certaine parenté de structure et, par conséquent, un totem qu’il y aurait lieu d’identifier, en l’occurrence, au concept, initialement hégélien, de « négativité ».Nommée « négativité » par Hegel, cette « puissance d’élaboration » [7] qu’est donc ici la négation n’est certes jamais mentionnée dans l’œuvre de Freud, mais elle y serait néanmoins constitutive de ce qu’il y appelle « refoulement » et, plus largement, de toutes les attitudes inconscientes qu’il range sous la catégorie des « mécanismes de défense » : « L’existence d’une négativité psychique tient essentiellement à la façon dont sont compris les mécanismes de défense. La psyché mobilise des « défenses » pour faire disparaître ou rendre inoffensif ce qui la menace. […]. Une opération de négation – de séparation – devient en tout cas le moyen du maintien d’une certaine intégrité psychique […]. Il y a donc une négativité psychique et pas seulement une présence de la négation, pour cette raison que la négation sert à produire quelque chose de positif : une issue au conflit, une protection, une aide. » [8].“@0634309199 cannabis zos Zahernourredine écosystème exodeinformatique La conscience de soi” by exodeinformatique “@0634309199 Elles sont parmi les habitants les plus nombreux de notre planète et pourtant la…” by exodeinformatique https://link.medium.com/BCJ0F5jooShttps://link.medium.com/WwxdGJhooS
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